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Déficience motrice

Dans le cadre du cours de déficience motrice, Monsieur Gonda nous a demandé de réaliser une analyse réflexive du cours. Pour cela, j'ai décidé de me pencher davantage sur ce que j'ai appris concernant l'infirmité motrice cérébrale (IMC). 

 

Durant le cours de déficience motrice, nous avons principalement parlé de l’IMC (Infirmité Motrice Cérébrale). Ce trouble est lié à une lésion du cerveau qui se situe au niveau du système nerveux central. Cette lésion peut surgir durant la période anténatale (avant l’accouchement), périnatale (après l’accouchement) ou postnatale. Il s’agit d’une lésion sur un cerveau en maturation. Toutefois, ce trouble ne sera pas progressif.

L’infirme moteur cérébral peut également avoir des troubles associés (comme des troubles au niveau langagier) et il convient de faire un bilan complet de ses forces et faiblesses afin de mettre en avant ses capacités et jouer ainsi sur la confiance en soi de la personne IMC. En effet, la personne souffrant de ce trouble est souvent confrontée à des périodes de déprime ou d’angoisse et il convient de garantir des suivis psychologique, social et familial afin de garantir une meilleure acceptation du handicap, la reconnaissance de soi et l’aptitude à se confronter à un lieu de vie (par exemple, l’école).

Ce cours m’a particulièrement permis d’en savoir davantage sur l’infirmité motrice cérébrale et d’imaginer comment adapter l’environnement de la personne atteinte de ce trouble. En effet, j’ai pu agrandir le peu de connaissances que j’avais à ce sujet et j’ai pu comprendre le trouble sur différents plans (les causes, les impacts, etc.). J’ai pu tout d’abord apprendre qu’il existait plusieurs types d’infirmité motrice cérébrale, qui allaient de la paralysie d’un à plusieurs membres.

Suite à cela, j’ai fait des recherches personnelles et j’ai pu prendre connaissance du site de l’AViQ (Agence pour une Vie de Qualité). Sur ce site, j’ai pu voir ce qui est déjà mis en place en Belgique pour les personnes IMC au niveau des aides sociales, des aides financières, des adaptations, etc.

En tant qu’orthopédagogue, il serait primordial de faire une évaluation régulière des besoins de la personne IMC afin d’adapter son environnement. En fonction du handicap plus ou moins lourd de la personne, il conviendra de prévoir des adaptations et d’outiller la routine de la personne afin que les freins qu’elle peut rencontrer dans les actions quotidiennes qu’elle mène ne soient plus des freins.

Source 

"L'infirmité motrice cérébrale", sur le site aviq, En ligne : 

https://www.aviq.be/handicap/pdf/documentation/publications/informations_particulieres/fiches_deficiences_emploi/Fiche08-Infirmitemotricecerebrale-ACCOK.pdf, page consultée le 11 janvier 2019. 

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